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VESTIGES ET PATRIMOINE Clermont Ferrand
Puy de Dôme - Auvergne - Rhône - Alpes
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FOCUS |
Département | Puy-de-Dôme |
Code Postal | 63000 - 63100 |
Type | Communauté urbaine |
Population | 147 284 h. (environ) |
Altitudes moyennes | 321 m. 602 m. |
Gentilés | Clermontois / Clermontoises |
Label(s) | - ville européenne - ville à vélo - territoire innovant - Ville fleurie *** |
Marie | 04 73 42 63 63 |
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Clermont-Ferrand est la rencontre entre un territoire et des populations. Son histoire est très ancienne, puisqu'elle débute à la Préhistoire et comme toutes les villes, en constante mutation, toujours en devenir, elle poursuit son évolution. Clermont-Ferrand traduit ces échanges entre le passé, le présent et l'avenir pour favoriser une meilleure connaissance de la ville d'aujourd'hui et mieux appréhender les évolutions sociales et urbaines du territoire. Partez à sa découverte, puis poursuivez la visite dans les rues et les quartiers de la ville...
Clermont-Ferrand, préfecture du département du Puy-de-Dôme est la capitale de l'Auvergne. En partie pour des raisons historiques, la ville est souvent appelée "Clermont". Elle est la 25ème commune de France avec environ 145 000 habitants (2010). Avec l'agglomération qui compte 459 250 habitants, Clermont-Ferrand occupe la 19ème place urbaine de France. Clermont-Ferrand est née de la réunion de deux anciennes villes (Clermont et Montferrand). Cette union fut imposée par Louis XIII en 1630 (Édit de Troyes) et fut confirmée sous Louis XV. Alors que Montferrand fut fondée au début du XIIème siècle par les comtes d'Auvergne sur le modèle des bastides du Sud-ouest, Clermont est beaucoup plus ancienne, puisqu'elle existait déjà à l'époque antique. La plus ancienne mention de l'existence de Clermont figure dans l'œuvre de Strabon, au début du Ier siècle.
La ville fut alors appelée Nemossos et qualifiée de "métropole des Arvernes". Elle prit par la suite la dénomination d'Augustonemetum, puis Arvernis...
La partie ancienne de Clermont se trouve délimitée par le tracé du rempart tel qu’il était constitué à la fin du Moyen-âge. La partie centrale comportait de nombreux bâtiments ou enclos dépendant de l’Évêché ou du Chapitre. Ils ont disparu pour permettre le dégagement de la cathédrale et l’établissement de la place de la Victoire. Entre le tracé du rempart de la fin du Moyen-âge et le sommet de la butte où est situé Clermont, les rues sont dans l’ensemble rayonnantes et aboutissent dans la partie centrale par des cheminements imposés par les circonstances historiques, notamment par l’emplacement des cinq portes. Les rues anciennes sont surtout : la rue de la Boucherie prolongée par la rue Tour-la-Monnaie, la rue des Gras qui primitivement venait buter contre le porche de la cathédrale, la rue des Chaussetiers, la rue Pascal, et la rue du Port...
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■ Le lycée Amédée Gasquet
(Rue Jean Baptiste Torrilhon)
Le Lycée Amédée Gasquet a été installé dans ce bâtiment Classique de la fin du XIXème siècle. On peut contempler le travail effectué sur le fer forgé du portail d'entrée. Sur son emplacement avaient successivement existé : l’abbaye et l’orphelinat de Saint-André, puis une école normale d’instituteurs, une école hôtelière et une école professionnelle, et enfin, en 1927, le collège puis le lycée Amédée Gasquet, qui comptait plus de 1400 élèves en 1991. A cette date, le lycée technologique déménage pour le site de La Pardieu où il devient le lycée "La Fayette" avec 1500 places. Parallèlement, le lycée professionnel Amédée Gasquet s’émancipe et est rénové en 1992-1993. Après démolition des bâtiments les plus dégradés, la rénovation met en valeur le style années vingt des anciens bâtiments, agrandis et rouverts à la rentrée 1993 pour quelque 700 élèves des classes technologiques tertiaires. En 2006, le lycée Amédée Gasquet obtient en complémentarité du lycée Sidoine Apollinaire le label "Lycée des métiers Services aux entreprises"... |
■ La chapelle de l'Ancien Hôpital Général
(XIXème siècle)
La chapelle et un beau témoignage de l'architecture néo-classique en Auvergne. La façade principale présente un péristyle couvert par une petite voûte en plein cintre et qui comprend quatre colonnes ioniques, ainsi qu’un entablement et un fronton triangulaire. La chapelle est édifiée sur un plan en croix grecque dont les quatre ailes sont orientées aux quatre points cardinaux. Chacune des quatre parties a reçu une entrée indépendante : une pour la population extérieure, une pour la congrégation, une pour les malades de l'hôpital (soit les femmes et les enfants soit les hommes). A la jonction des quatre bras de la croix s'élève une coupole sur tambour carré. A l'intérieur, le sommet des murs s'orne d'une mouluration néo-classique avec architrave à trois fasces, frise nue et frise de denticules précédant une corniche en saillie formant la base des voûtes. Les arcs supportant la coupole sont ornés de caissons alternativement rectangulaires et carrés. Ces derniers portent une rosette en leur centre... |
■ La Cité Vaudoit
Datant de 1884, "l'Immeuble de Maîtres" de la Cité Vaudoit marque le quartier de son empreinte, avec sa tour ronde caractéristique. Portant le nom de la famille qui commandita sa construction ( et dont les descendants vivent encore dans la demeure ) la Cité Vaudoit est en fait un enclos privé où furent construites, à la fin du XIXème siècle, plusieurs maisons bourgeoises. A chaque niveau de l'immeuble, d'immenses verrières ornées de vitraux représentent des personnages en habit de la renaissance. On peut voir plusieurs belles fontaines à l'intérieur et un joli plafond peint en trompe à l'œil. L'architecte Tachet semble être l'auteur du projet. Un passage privé relie les deux rues et dessert trois constructions : un immeuble à tourelle, les anciennes écuries entourées de jardins et de fontaines à l'origine, et un immeuble sur rue percé d'un passage couvert en rez-de-chaussée. Vitraux attribués à Gaudin. L'immeuble à tourelle conserve, au premier étage, un salon dont les murs, les portes et les plafonds sont rehaussés de peintures dans le goût japonais, représentant des feuillages et branches en fleurs (cerisiers, bambous), des oiseaux et des dragons. La Cité Vaudoit constitue le plus bel ensemble civil clermontois du XIXème siècle... |
■ L'ancienne Chapelle des Carmes
L'emplacement de cette chapelle et celui de ses alentours servirent d'abord de cimetière aux premiers chrétiens de la ville, au milieu du IIIème siècle. Dès l'an 312 s'y dressait une église. Plus tard, une église dédiée à Saint-Pierre-aux-Liens remplaça celle de Saint-Gal et servit au monastère de Chantoin jusqu'à l'arrivée des pères Carmes Déchaussés en 1633. Le couvent des pères Carmes Déchaussés fut incendié en 1699, ainsi que l'église. Cette dernière fut reprise jusqu'aux fondements en 1720. La chapelle, dont la construction s'étend jusqu'en 1775, est un édifice à plan central constitué par une rotonde sur laquelle s'ouvrent quatre alvéoles de plan elliptique. La façade sur l'entrée présente, pour seuls éléments décoratifs, les lourds ailerons qui flanquent la fenêtre haute et les vantaux du portail aux armes d'un archevêque et de la Maison de Clermont. Cette porte est un beau morceau de menuiserie Louis XV. L'intérieur est uniquement animé par des pilastres doriques soutenant un entablement... |
■ Le square d'Assas Arcades de la Préfecture. Square d'Assas avec la statue de Poséidon, Roi des Eaux. Dans le Square d'Assas, proche de la préfecture, derrière les "Galeries de Jaude", rue de la Tour d'Auvergne, une grotte abrite la Fontaine du Roi des Eaux. Construite en 1856 dans un style baroque, la fontaine représente Poséidon punissant les Tritons... |
■ Le square de la Jeune Résistance (Place de l'Esplanade) Avec la fontaine-bassin et le buste de Jean Jaurès. A proximité de la gare SNCF, au croisement du boulevard Fleury et de l’avenue Carnot...
Les chiens en laisse sont acceptés.
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■ La Place Saint-Hérem
Sur le square Blaise Pascal, fut inaugurée en 1880, la statue du grand penseur en présence des membres illustres de l'Académie Française. Ces gens que l'on appelle toujours "les Immortels", mais dont personne, aujourd'hui ne se rappelle le nom... |
■ La Rue Gaultier de Biauzat
Au N°14 on peut voir cette magnifique " agrafe " sur la porte: "les trois âges de l'homme... (1884-1887) |
■ Le square de la Préfecture
Méditation de la Bergère de Mabru accompagnée de son chien... |
■ La Place Salford
La statue du combattant édifiée par Vaury en 1954... |
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MAIS AUSSI...
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LES CAVES DISPARUES
Les maisons de la Butte de Clermont-Ferrand ont été construites jusqu'à 7 étages de caves. Les habitants avaient l'habitude de s'y cacher, bien avant le Moyen-âge, pour échapper aux pillages et aux tueries. Jusqu'au début du XIXème siècle, la Rue Savaron s'appelait "Grotas" (les grottes). Elles servaient, en outre, à la conservation du vin produit dans les alentours de la ville, ainsi qu'à celle des aliments. Beaucoup de caves communiquaient entre elles, formant ainsi de véritables labyrinthes. Les caves conservées depuis cette époque servent toujours à l'affinage des fromages (En savoir plus)
LES MAISONS PARTICULIÈRES
A l'angle de la Rue des Chaussetiers et de la rue des Gras, une des plus vieilles maisons de Clermont-Ferrand. Les arcades du 2ème étage datent de le fin de la période Romane. Au n° 3 de la rue des Chaussetiers, vous pourrez admirer l' Hôtel d'Hugues Savaron construit en 1513 dont le tympan est orné de trois hommes sauvages portant le blason des Savaron.
LA MAISON DE L'ANGE
14, rue Kléber, dans la cour, au-dessus de la porte rectangulaire, un tympan triangulaire est décoré d'un ange tenant un écu du XVIème siècle.
LES REMPARTS DE MONTFERRAND
Plus longs que ceux de Carcassonne, construits selon un dispositif développé ensuite par Vauban, les remparts de Montferrand témoignent d'un passé prospère. Quelques éléments parsèment encore la cité, notamment, rue des Fossés-sous-le-Séminaire, rue des Fossés sous la Rodade et rue de la Gravière. Au tout début, vers 1120, était une forteresse construite par le comte d'Auvergne Guillaume VI, entourée, bien sûr d'une enceinte. De celle-ci, il ne reste qu'une tour cylindrique, dont on voit encore, de la petite rue du château, l'étroite fenêtre romane. La ville, elle-même distincte du château, était également pourvue de remparts qui disparurent, absorbés peu à peu par les constructions ultérieures. Seule, une des tours de la porte survécut jusqu'au XVIème siècle, sous le nom de donjon de la Rodade. Les remparts dont on peut suivre aujourd'hui encore les traces, ont été élevés au XIIIème siècle. Après des luttes acharnées contre le roi de France, Montferrand n'est alors plus qu'un amas de ruines. Dauphin, son seigneur, lui préfère Vodable et confie Montferrand à sa femme, la comtesse G. et à leur fils Guillaume. En 1196, une charte est octroyée à la nouvelle ville qui attire de nombreux commerçants. C'est pour offrir une sécurité absolue aux nouveaux habitants, que Guillaume élève des remparts dont le pourtour mesurait 1772 mètres (l'enceinte de Carcassonne couvrait 1500 m), entourés d'un fossé très profond, alimenté par les eaux de la Tiretaine. Au sud, les rues Debay-Facy et Saint Robert occupent leur emplacement. Ils dominaient de quatre mètres le sol intérieur et d'une dizaine de mètres le fond du fossé.
Tous les quarante mètres environ, la muraille était flanquée de tours rectangulaires (l'une d'entre elles subsiste encore rue de la Gravière), assez rapprochées pour s'assurer une défense mutuelle. Entre les tours, les courtines étaient trouées de grands arcs bourrés de terre et de pierraille, appuyés au flanc même de la colline. Ces arcs, certains dénudés, sont encore visibles au nord et au sud-ouest.
On pénétrait dans la ville par quatre portes : celles de Bise ou Saint-Louis au nord (place des Cordeliers), de l'Hôpital au sud (place de la Fontaine), de la Rodade ou de Belregard à l'ouest (place de la Rodade), de la Poterne ou de la Bade au sud-est (rue du Temple), toutes détruites au XVIIIème siècle. Ces portes avaient un pont-levis et de grosses chaînes de fer. Les murs étaient si épais que des chambres, cabinets et autres annexes avaient été bâtis dans l'épaisseur pour loger le capitaine et ses aides. Ces remparts ont été réparés, remontés, modifiés par la population, au cours des siècles, en fonction des armes de l'époque. Au XIVème siècle, la maçonnerie fut faite avec de la chaux provenant de Bonneval près de Pérignat-les-Sarliève et de Croptes entre Lezoux et Ravel. En 1363, les murs se couvrent de bretèches. Celle de la porte de l'Hôpital, trop vulnérable au canon de l'assaillant, est remplacée en 1546 par une tour demi cylindrique. En 1631, les remparts de Montferrand étaient encore soigneusement entretenus. Ils n'auraient été abandonnés que vers 1770...
LES PORTES DE MONTFERRAND
Remarquables et discrètes, les portes Renaissance de Montferrand. Le passé prestigieux de Montferrand a laissé des traces. Les rues de l'ancienne cité abondent de belles demeures. Celles du XVIème siècle, en particulier, ont gardé une porte finement sculptée, à découvrir, le plus souvent... dans la cour. En 1557, Montferrand est dotée d'une cour des Aides. Dès lors, en plus de son intérêt militaire et commercial, elle acquiert une grande importance judiciaire. La ville prend un éclat nouveau. Toute une population de magistrats et d'avocats s'installent dans son enceinte. Les anciennes maisons sont abattues et les hôtels particuliers, construits au goût du jour en pierre de Volvic, se multiplient. "En tous les quartiers, c'est à qui aura la plus belle porte, la plus belle voûte, le plus bel escalier, la plus belle charpente et, dans sa cour, les galeries les plus élégantes, les plus ornées. Ce ne sont partout qu'emblèmes, rinceaux, statues de saints protecteurs et figures allégoriques". A elles seules, les portes et les tympans de ces superbes demeures méritent la visite. Quelques exemples.
LES PORTES RENAISSANCE
Quelques-unes s'affichent sur la rue, la plupart restent, à la manière clermontoise, discrètes, cachées au fond d'une cour. Réalisées à l'époque Renaissance, elles comptent parmi les joyaux de notre patrimoine. Les premières années du XVIème siècle sont consacrées à relever la ville des destructions de la Guerre de Cent ans et des tremblements de terre du siècle précédent. La vie économique redémarre. Les riches bourgeois font construire des logements dignes de leur rang. Presque chaque rue de Clermont s'agrémente d'un ou plusieurs hôtels particuliers munis de tourelles d'escalier qui donnent sur des jardins enclos. Beaucoup de ces demeures ont aujourd'hui disparu, laissant quelques vestiges comme des portes, des tympans finement sculptés et souvent cachés au fond des cours intérieures.
De style gothique flamboyant, ces merveilles d'ornementation ont gardé la netteté et la finesse des premiers jours grâce à la densité et la résistance de la pierre de Volvic. En flânant dans les rues du vieux Clermont et en poussant quelques portails, il est possible d'admirer celles qui figurent aux adresses suivantes :Porte des Licornes, 2, rue Parmentier : sur la porte du XVème siècle, un tympan était timbré d'un écu penché soutenu par deux licornes. Cet ensemble très finement sculpté a été acheté en 1910 par les Américains. Il est actuellement exposé au Cloister Muséum de New York.
SA RUE DU PORT
Pourquoi ne pas profiter d'un week-end pour découvrir le Clermont ?... Dans les rues étroites, chaque maison est un zeste de patrimoine Auvergnat. Mais plus que les façades, plusieurs fois restaurées, les portes vous racontent l'histoire. Il faut prendre le temps de les écouter. En avant-goût des futures découvertes, le haut de la rue du Port où se concentraient les hôtels particuliers des XIVème et XVème siècles, en proposent de superbes.
- Au numéro 13, située sous un balcon en pierre de Volvic, on découvre la grande porte cochère vert foncé d'une maison du XVIIème siècle. Deux cornes d'abondance qui débordent de fleurs en décorent la partie haute. Un blason au bout d'une chaîne...
- Au numéro 17, une autre porte cochère, un peu austère en bois mouluré au linteau en pierre sculpté de roses. Derrière celle-ci, au bout d'un couloir, dans une cour minuscule, une splendide porte de style gothique (XVème siècle) encadrée par des consoles dont les statues ont disparu. Au-dessus de la porte qui s'ouvre sur un escalier à vis, un blason au bout d'une chaîne (il indique le veuvage de la propriétaire) représentant un lion, deux roses et un croissant de lune, gravé dans la pierre.
- Au numéro 19, on peut admirer la belle porte d'un hôtel Louis XV, encadrée de deux pilastres avec fronton droit, portant une frise de trois rosaces surmontée de deux pots de flammes. La porte en bois compartimentée, sculptée de faunes et d'entrelacs de feuillages, est une merveille. Le personnage central tire visiblement un drôle de nez !Le Château de la Belle au bois dormant...
- Au numéro 21, le temps s'est arrêté devant le château de la Belle au bois dormant. L'entrée de cette maison très ancienne à la porte trilobée du XVème siècle, dont l'arc de pierre extérieur s'appuie sur deux petites gargouilles absolument superbes.
- Au numéro 38, très belle porte baroque de l'hôtel Montlosier de la Vilatelle (hôtel Louis XV), remarquable par sa partie haute en demi-lune sculptée, surmontée d'une élégante balustrade en pierre de Volvic, qui s'ouvre sur une cour intérieure très classique et suffisamment spacieuse pour permettre à des voitures à cheval d'y manœuvrer à l'aise.
■ Visite(s)
conseillée(s)
• La ville de Clermont-Ferrand
• La route de fontaines de Clermont-Ferrand
• Les jardins de la ville
• Édifices religieux majeurs
• Édifices
publics
• Les
hôtels particuliers
de Clermont-Ferrand
• Les caves sous les pavés de Clermont-Ferrand
• Les entrailles de Clermont-Ferrand
• Jumelages de la ville de Clermont-Ferrand
• Musées
de Clermont-Ferrand
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